CHRONIQUE DE L'ALBUM
Aetherium est un groupe belge et ca se sent en passant sur le site. On retrouve au sein du groupe une chanteuse dans un registre black metal, avec quelques passages parlé. Les paroles ne sont pas en flammand tout de même, elles sont en anglais pour être moins hermétiques. Dans Haetherium, on ne retrouve pas les textes classiques du black metal parlant d'occultisme, de religion et demons, mais d'experiences personnelles souvent tristes, à la maniere du Doom qui est aussi présent musicalement dans la composition des morceaux : on y retrouvent des moments assez lourds.
C'est un peu dommage que la production ne soit pas à la hauteur et que les titres, avoisinants pour certains 8 minutes, n'aient pas été plus travaillés. Cela reste d'une naiveté deconcertante, malgres quelques soubressauts inspirés, même sans claviers au sein de la formation. Cela donne quelque chose de vraiment dépouillé. La batterie est lointaine alors que les guitares et le chant sont trop en avant. Le niveau technique n'est pas de mise et un effort supplémentaire sera donc nécéssaire pour convaincre même si allez au plus haut n'est pas leur but. Encore un groupe qui a confondu vitesse et précipitation, le résultat reste un album moyen qui demande à être muri plus longuement.
Chroniqueur : Trashercorpse
Aetherium est un groupe belge et ca se sent en passant sur le site. On retrouve au sein du groupe une chanteuse dans un registre black metal, avec quelques passages parlé. Les paroles ne sont pas en flammand tout de même, elles sont en anglais pour être moins hermétiques. Dans Haetherium, on ne retrouve pas les textes classiques du black metal parlant d'occultisme, de religion et demons, mais d'experiences personnelles souvent tristes, à la maniere du Doom qui est aussi présent musicalement dans la composition des morceaux : on y retrouvent des moments assez lourds.
C'est un peu dommage que la production ne soit pas à la hauteur et que les titres, avoisinants pour certains 8 minutes, n'aient pas été plus travaillés. Cela reste d'une naiveté deconcertante, malgres quelques soubressauts inspirés, même sans claviers au sein de la formation. Cela donne quelque chose de vraiment dépouillé. La batterie est lointaine alors que les guitares et le chant sont trop en avant. Le niveau technique n'est pas de mise et un effort supplémentaire sera donc nécéssaire pour convaincre même si allez au plus haut n'est pas leur but. Encore un groupe qui a confondu vitesse et précipitation, le résultat reste un album moyen qui demande à être muri plus longuement.
Chroniqueur : Trashercorpse