CHRONIQUE DE L'ALBUM
Temple of Sorrow est un groupe qui nous vient de la République Tchèque et mis à part celà, on a très peu d'infos sur le groupe... C'est donc avec surprise que j'ai recu cet album dans ma boite aux lettres. Ce "Intergalaxial Brutes" est en fait un mélange hybride et étrange entre du Death et de l'Indus fait par 3 mecs tout ce qu'il y a de banal. Ca ressemble pas mal aux bandes son de vieux films de zombies qui emploient du synthé ( Vous savez, le Bontempi ... ) auquelles on ajoute un peu de gratte, une boîte à rythme et un chant de goret casi robotisé. C'est un OVNI cet album : c'est vraiment spécial, à tel point que ca peux en rebuter du monde ! pas hyper violent, pas hyper calme non plus , on navigue entre deux eaux. De même, on est pas dans la technique brillante, ca reste très accésssible : avec des morceaux qui se ressemble pas mal au final. On peux donc dire que l'intêret de cet album se résume à l'utilisation des plans Indus, sortis tout droit d'un vieux film des années 80 ou d'un jeu NES (la bonne vielle nintendo). Malgrès l'originalité de la chose venue de l'espace, j'ai du mal à accrocher à leur univers musical : si je veux du bon son dans le style, je préfère encore le black indus façon CNK ou Diabolicum. Cependant, ca plaira surement à certains, qui sait ...
Chroniqueur : Trashercorpse
Temple of Sorrow est un groupe qui nous vient de la République Tchèque et mis à part celà, on a très peu d'infos sur le groupe... C'est donc avec surprise que j'ai recu cet album dans ma boite aux lettres. Ce "Intergalaxial Brutes" est en fait un mélange hybride et étrange entre du Death et de l'Indus fait par 3 mecs tout ce qu'il y a de banal. Ca ressemble pas mal aux bandes son de vieux films de zombies qui emploient du synthé ( Vous savez, le Bontempi ... ) auquelles on ajoute un peu de gratte, une boîte à rythme et un chant de goret casi robotisé. C'est un OVNI cet album : c'est vraiment spécial, à tel point que ca peux en rebuter du monde ! pas hyper violent, pas hyper calme non plus , on navigue entre deux eaux. De même, on est pas dans la technique brillante, ca reste très accésssible : avec des morceaux qui se ressemble pas mal au final. On peux donc dire que l'intêret de cet album se résume à l'utilisation des plans Indus, sortis tout droit d'un vieux film des années 80 ou d'un jeu NES (la bonne vielle nintendo). Malgrès l'originalité de la chose venue de l'espace, j'ai du mal à accrocher à leur univers musical : si je veux du bon son dans le style, je préfère encore le black indus façon CNK ou Diabolicum. Cependant, ca plaira surement à certains, qui sait ...
Chroniqueur : Trashercorpse